Il fut ravi de voir que la capitaine elle même prit soin à l'accueillir afin de discuter de tout cela. Il réfléchit quelques instants afin de lui fournir les explications les plus complètes.
Bien comprenez-moi, je ne leur ai même pas parlé de cette venue car je pensais que de discuter ici, ça serait l'introduction à une manifestation qui se tiendrait en gargote.
Vous devez sans doute savoir comme il est compliqué de déplacer des soldats, bien entendu, si vous teniez à le faire ici, je les forcerais.
Je doute qu'ils se déplaceront en nombre, nous sommes déjà peu. J'espère bien en amener un ou deux autres de bonne volonté.
Nous sommes en Armagnac depuis quelques jours et pour montrer notre présence, nous aurions voulu passer en gargote. Nous sommes pour le décloisonnement, maiscomme vous êtes nos hôtes, je ferai le nécessaire si vous vouliez que nous nous rendions dans votre château.
En réalité, je suis le grand instigateur. J'ai proposé et comme je recevais plusieurs réponses positives, j'ai continué mais entre un soutient et l'action, il y a de la différence. Vous devez me comprendre.
Et bien si c'est offert, je ne voudrais pas refuser quoiqu'après ce que je vous ai confié, vous risquez d'être déçue.
Il avait l'impression qu'ils s'étaient mal compris. Lui prône la gargote et la capitaine plutôt le château ; il aimait les compromis et il ferait les efforts mais il ignorait si ces compagnons feraient le même.